J’ai trouvé cet article intéressant (en anglais par contre) par Chad Brooks sur Yahoo! Nouvelles. Dans l’article, Chad se penche sur une nouvelle étude menée par Michelle Barnhart de l’Oregon State University.
L’étude d’octogénaires suggère que, bien plus que le nombre de bougies soufflées, nos perceptions du niveau d’autonomie de l’individu en question sont ce qui importe le plus pour marquer le début de la vieillesse.
La conclusion de Michelle Barnhart, claire et concise, en vaut la lecture. Mais au cas où la lecture en anglais vous est pénible, je me suis permis d’essayer de traduire le texte :
« À moins que nous changeons nos perceptions sur le vieillissement, la génération qui suit les baby boomers va traiter ces derniers de la même manière dès qu’ils montreront quelques rides de plus ou qu’ils sembleront être un peu plus branlants. »
Barnhart explique qu’une perte d’autonomie ou le besoin de demander de l’aide d’autrui ne devrait pas mener à la dévalorisation ou la marginalisation sociétale d’une personne âgée.
« Tout le monde vieilli. On ne pas freiner cela, » déclare Barnhart. « Mais ce que nous pouvons faire c’est répondre aux limitations d’une manière qui préserve la dignité et la valeur. »
Voilà des propos qui ont bien de l’allure!